Le 8 mars dernier, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, Le Monde selon les femmes s’est joint à BOZAR et Oxfam Belgique pour un débat sur le climat consacré à l’écoféminisme, qui a abordé les points communs entre l’oppression de la nature et l’oppression des femmes.
L’écoféminisme est un sujet cher au Monde selon les femmes: en témoignent nos publications, nos formations sur ce thème et nos activités – comme la tenue d’ateliers écoféministes de janvier à mars 2020 à la Maison des Femmes de Schaerbeek – ainsi que la recherche croisée que nous menons avec nos partenaires en Afrique, en Amérique Latine et en Europe pour réaliser un Focus genre sur le lien entre le soin du vivant, le care et les luttes féministes pour l’environnement et les droits.
La table ronde a réuni Gabriela Franco Prieto (militante, fondatrice du projet numérique @la.totuma sur Instagram), Valiana Aguilar Hernandez (collectif Suumil), Laurie Charles (artiste), Margot Lauwers (chercheuse) et Jehanne Bergé (journaliste). La modération était assurée par Agnès Bertrand-Sanz (Le Monde selon les femmes).
Pour revoir ce webinaire (en anglais), c’est ici :
Et pour aller plus loin
- Recherche & Plaidoyer – Utopies écoféministes : de partout des voix se réveillent pour mettre le vivant au cœur de nos actions, de nos façons de penser. Pour passer de la sidération à la considération, les écoféministes s’attachent à revaloriser le corps, la nature, les émotions, le sacré, les femmes, les savoirs opprimés.